Il y a tout juste un an, le paralpiniste Julien Irilli finissait sa grande marche dans le ciel. Une marche, certes, mais une marche au pas. Flirtant avec les plafonds nuageux, optimisant les ascendants et les thermiques qui, de la Slovénie au rocher monégasque, lui firent chausser les bottes de sept lieues, l’alpiniste annécien ne mit que 44 jours à boucler son périple estival. De fin juillet à début septembre, il enchaîna en mode trail, grimpe ou vol douze parmi les sommets mythiques des Alpes : Triglav (2864 m), Grossglockner (3798 m), Marmolada (3343 m), Ortles (3905 m), Piz Bernina (4049 m), Piz Badile (3308 m), Eiger (3970 m), Clocher du Portalet (2823 m), Aiguilles d’Arves (3514 m), Dôme des Écrins (4015 m), Pelvoux (3946 m) et Monte Viso (3841 m).
Retour sur sa promenade, chevauchée sublime et pérégrination alpiniste. (…)
Lire la suite ici
Laisser un commentaire
Vous devez être dentifié pour poster un commentaire.